"Un poyo rojo" en la prensa

Poyo rojo trabaja, por lo menos, tres capas: el erotismo, el humor y el deporte. Ese tríptico se afirma en una precisa secuencia coreográfica trabajada hasta la obsesión por dos brillantes intérpretes. (...) Poyo rojo se afirma y se expande más en lo coreográfico que en la intención narrativa que va tomando cuerpo a partir de un juego de estereotipo muy estereotipado.

Alejandro Cruz, La Nación, 24.4.2012

http://www.lanacion.com.ar/1467553-poyo-rojo

Le potentiel de défiguration extrême de ces deux acteurs, danseurs et acrobates qui savent trouver à chaque démarche son envers grotesque, qui glissent du glamour à l’abject dans une rhapsodie de gags minutieusement chorégraphiés. (...)
Une sorte d’héritier vitaminé des cabarets baroco-kitsch labellisés Argentine, auteur de grimaces (véritables danses de visage) à faire passer Ben Stiller et Jim Carrey pour des amateurs passablement inspirés. C’est dire si on l’attendait.

Ève Beauvallet, La Libération, 15.9.2016
http://next.liberation.fr/theatre/2016/09/15/un-poyo-rojo-combat-kitsch-pour-coqs-sportifs_1498351

Un poyo rojo es una explosiva e hipnótica combinación, entre la danza, el humor, el deporte, la acrobacia y la sensualidad. Una obra que, a partir del lenguaje corporal entre dos personajes masculinos, explora las posibilidades expresivas del movimiento.

Revista Digital Cabal, 16.7.2016
http://www.revistacabal.coop/critica-de-teatro-un-poyo-rojo+

Les danseurs allient des formes artistiques diverses où vont se côtoyer l’acrobatie, la danse et le mime. Les techniques mutent sous l’influence du désir. Les coups se métamorphosent en étreintes et virevoltent dans une danse d’influence et de domination. Un sadomasochisme aux couleurs d’Almodovar, parfois kitsch, drôle et décapant.

Pierre-Alexandre Culo, Theatreactu, 16.9.2016
http://theatreactu.com/poyo-rojo-teatro-fisico-mise-scene-hermes-gaido-theatre-rond-point/

..